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La VéRiTé

13 mars 2005

LA FRANCE DE SARKOZYHarcèlement policiercontre la

LA FRANCE DE SARKOZY
Harcèlement policier
contre la France d'en-bas


A la demande d'une meilleure sécurité dans les quartiers populaires, le gouvernement français et son ministre de l'intérieur ont répondu par une répression sans précédent, orientée non pas contre les vrais délinquants, mais contre les citoyens ordinaires, et souvent, aux mépris des droits de l'homme. Et une fois de plus, dans cette hystérie répressive, il y a 2 poids et 2 mesures...


Gesticulation et diversion

Depuis 20 ans, le pouvoir réel a progressivement été transféré vers des organisations non-élues. (voir "La fin programmée de la démocratie"). Mais pour justifier leur raison d'être devant les électeurs, les gouvernements élus doivent montrer qu'ils agissent, et qu'ils ne sont pas seulement des "chargés de communication" dont le rôle se limite à annoncer à la population ce qui a été décidé ailleurs, en amont du pouvoir politique.

Pour donner l'impression à la population qu'ils ont encore un pouvoir et donc que les élections ont encore un sens, les gouvernements font de la gesticulation sur les terrains qui leur restent. Tout l'art de gouverner consiste désormais à imaginer des mesures qui ont une visibilité dans la vie quotidienne des gens, mais qui ne sont pas contradictoires avec les intérêts des multinationales, ni avec les stratégies de guerre sociale utilisées par les Maîtres du Monde pour instaurer un nouvel esclavage.

Exemples récents de ce type de mesures: la parité homme-femme, le PACS, le quinquennat (élire un président qui n'a plus de pouvoir pour 7 ans ou pour 5 ans, quelle importance!).
Le dernier thème choisi par la gesticulation gouvernementale est la sécurité routière.
 

Des larmes de crocodile

L'objectif de réduire le nombre de morts sur la route est louable, mais il ne peut être crédible tant que le gouvernement ne s'attaque pas à la première cause des accidents graves, à savoir les poids lourds, toujours plus nombreux sur les routes en raison des méthodes de gestion des entreprises (flux tendus, sous-traitance et fabrication délocalisée), et aussi à cause des conditions de travail dans les sociétés de transport routier (temps de conduite au-delà des limites légales,vitesse excessive et conduite dangereuse au mépris de la sécurité, chauffeurs étrangers sous-payés et recrutés dans les pays d'Europe de l'Est où le permis de conduire peut être "acheté" grâce à la corruption).

Le gouvernement reste également silencieux sur une autre cause majeure d'accident: la consommation massive de tranquillisants et de somnifères (la France est au premier rang mondial pour la consommation par habitant de ces produits).

Lorsque Nicolas Sarkozy déplore les morts sur la route, on ne pourra s'empêcher d'y voir des "larmes de crocodile" tant qu'il ne s'attaquera pas avec équité aux causes du problème, et tant que le gouvernement ne montrera pas une compassion équivalente pour les morts beaucoup plus nombreux dus aux maladies ou aux suicides causés par la misère et le chômage, ainsi que pour les morts causés par la pollution (9500 morts par an en France à cause des particules cancérigènes émises par les moteurs diesels, ou encore 16.000 morts en France pendant l'été 2003 à cause de la canicule causée par le CO2 lâché dans l'atmosphère), sans parler des morts causés par les poisons chimiques et les pesticides contenus dans l'alimentation et dans l'eau. Le gouvernement ne se préoccupe pas non plus des centaines de milliers de victimes de l'industrie médicale et pharmaceutique (à cause des effets secondaires des médicaments, de la sur-médication, ou des maladies nosocomiales attrapées par 7% à 12% des personnes soignées à l'hôpital, et 22% des personnes soignées dans les services de réanimation selon les chiffres officiels. Les infections nosocomiales causent 35.000 décès en France chaque année en France; elles sont la quatrième cause de mortalité en France, loin devant les accidents de la route).
 

Quand Sarkozy en fait trop

Pour rendre justice à Nicolas Sarkozy, il faut rappeler que c'est son prédécesseur Jean-Claude Gayssot (ministre des transport du gouvernement Jospin) qui avait commencé à exploiter le thème de la sécurité routière en instituant les premières peines de prison pour les responsables d'accidents de la route.

Mais avec l'arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur, une répression policière hystérique et maniaque s'est abattue sur les automobilistes, et sur les citoyens ordinaires en général.
 

  

Entre Orwell et Kafka !

Les contrôles policiers sur la route sont devenus incessants. Des amendes (qui représentent souvent le dixième d'un salaire ordinaire) sont infligées pour la moindre broutille. Ainsi, des automobilistes se sont vu infliger des amendes pour défaut d'assurance, sous le prétexte qu'ils n'avaient pas signé une petite case présente sur le certificat d'assurance et dont 90% des gens ignorent l'existence. Sous cette case, en petits caractères, il est en effet précisé que le certificat d'assurance n'est pas valable sans la signature du titulaire.

Encore plus fou: récemment, un automobiliste a été verbalisé parce qu'il mangeait un gâteau tout en conduisant. Sur le PV, le fonctionnaire de police a formulé l'infraction ainsi: "Conducteur d'un véhicule en mouvement ne se tenant pas constamment en état et en position d'exécuter commodément et sans délai toutes les manoeuvres qui lui incombent, par l'utilisation à la main droite d'une viennoiserie. Art. R412-6-1CR".

Alors que les hôpitaux et le système éducatif sombrent dans un délabrement total, des moyens démesurés sont mobilisés pour traquer l'automobiliste: patrouilles banalisées qui se fondent dans la circulation pour surprendre les conducteurs qui n'ont pas mis leur ceinture ou qui utilisent leur téléphone portable, jumelles avec visée radar pour contrôler simultanément les excès de vitesse et le port de la ceinture, surveillance du trafic par hélicoptère, radars automatiques, etc.

Pendant ce temps, les véritables problèmes de sécurité ne sont toujours pas résolus: racket dans les écoles, incendies de voitures, agressions, viols collectifs dans les caves des cités, cambriolages, etc. Car cette répression vise les citoyens ordinaires, et non les délinquants qui sont utiles au gouvernement pour justifier la réduction des libertés et pour maintenir la population dans le stress et la peur.
 

La démesure de la répression

Pour un simple excès de vitesse sans accident, le citoyen ordinaire peut désormais être condamné à 1 ou 2 ans de prison. Or compte tenu des conditions de détention et de la surpopulation carcérale, être condamné à la prison en France, c'est être condamné à être tabassé, violé, au risque d'être contaminé par le virus du SIDA. Sans parler des humiliations pratiquées par les gardiens (fouille au corps quotidienne, etc).
La vie de tout citoyen peut désormais être brisée pour une simple infraction routière.

Par ailleurs, les radars automatiques et leur système informatisé pour l'envoi des PV ont démontré leur manque total de fiabilité. De nombreux automobilistes reçoivent des amendes pour des excès de vitesse qu'ils n'ont pas commis, sur des routes qu'ils n'ont jamais emprunté. Des retraités qui n'avaient pas bougé de chez eux, ou encore un agriculteur avec son tracteur ont reçu des amendes pour excès de vitesse (le tracteur avait été mesuré à 120 km/h). Au mépris des principes élémentaires de justice dans une démocratie, les amendes des radars automatiques sont générées par un processus entièrement automatisé. De la constatation de l'infraction jusqu'à l'envoi du PV, tout est fait par des machines, sans intervention humaine et sans contrôle. Même en cas d'erreur, l'amende (souvent équivalente à un mois de salaire) doit être payée immédiatement et sans possibilité de contester l'infraction. En cas de refus de paiement, le contrevenant risque une suspension de son permis de conduire.

Le résultat est que chaque conducteur vit désormais dans la peur, même lorsqu'il respecte le code de la route. Et cette peur fait peut-être aussi partie des objectifs visés par cette répression policière: créer un climat d'oppression et de soumission, pour diminuer la probabilité d'une réaction de la population contre la véritable guerre sociale menée par le gouvernement Raffarin sur le terrain économique.
 

2 poids et 2 mesures, comme d'habitude

Pour le citoyen ordinaire, c'est donc la "tolérance zéro". Mais pour les responsables de la corruption, pour les entreprises et leurs crimes écologiques, financiers, ou sociaux, la tolérance est illimitée et l'impunité systématique. (voir l'article "2 mondes, 2 ordres, 2 lois" et les actualités)
 

Les mesures concernant la sécurité routière ne s'appliquent pas au "monde d'en-haut". Si les ministres devaient subir eux-mêmes les contraintes qu'ils nous imposent, ils ne les auraient pas décidées. Pour eux, il est hors de question de se traîner à 90 km/h et d'allonger leurs temps de transport de 50% comme les citoyens ordinaires.

En Novembre 2003, le magazine Auto Plus a utilisé une jumelle-radar pour prendre Nicolas Sarkozy en flagrant délit de "grand excès de vitesse", à 103 Km sur une portion de route limitée à 70, alors que le ministre se rendait à l'inauguration d'un radar automatique. Au retour, Nicolas Sarkozy a été à nouveau flashé à 99 km/h sur la même route limitée à 70. Pour le citoyen ordinaire, un dépassement de plus de 30 km/h entraîne au minimum la suspension du permis et une amende de 760 euros.

Quelques jours plus tard, les gendarmes ont intercepté une voiture du ministère de l'Intérieur qui roulait à 209 km/h sur l'autoroute, au lieu de 130. Les occupants de la voiture étaient 3 policiers du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) qui retournaient vers Paris après être partis de Nantes, où ils avaient participé avec leur ministre aux "Assises des libertés locales".
 

 

La réponse des citoyens

Les citoyens peuvent faire payer sa politique au gouvernement en lui infligeant une défaite maximale au prochaines élections (pour les élections régionales, c'est fait, bravo!). Autre moyen d'action plus immédiat: utilisez le moins possible votre voiture afin de faire baisser le chiffre d'affaires des industries automobiles et pétrolières, qui feront alors pression sur le gouvernement pour qu'il change de politique. Déjà, les ventes automobiles ont baissé de 12% au début de 2004, et la consommation de carburants a baissé de 6%. Vous ferez du même coup une bonne action pour l'écologie...

 

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13 mars 2005

Des Villes sont Trouvées sur la Lune! Helas je ne

Des Villes sont Trouvées sur la Lune!

Helas je ne crois pas que nous soyions encore prêt aujourd'hui pour recevoir ce genre de vérités... Il n'y a qu'à voir le nombre de crétins sur cette planète ...
Beaucoup de gens ne sont pas capables de voir plus loin que le bout de leur nez et leurs petites préoccupations du moment ! Alors allez leur parler d'une base E-T sur la lune ! icon_eek.gif

C'est terrible de savoir que depuis + de 35 ans la NASA nous ment, différents gouvernements nous mentent...

Imaginez que quelques millers de personnes seulement sont au courant ( à des degrés divers ) que la présence extra-terrestre aussi bien sur Terre que dans des bases installées dans notre système solaire est une réalité !...
Cela doit être vraiment difficile à porter quand tout votre entourage n'est pas au courant, quand les médias se moquent du phénomène, que vous ne pouvez pas en parler à vos amis sous peine de passer pour un être crédule (il croit aux OVNIS !! Quel con !!)

Comment certifier aux gens que les programmes SETI ne sont que du tape à l'oeil, histoire de conforter la communauté scientifique dans ses recherches d'une eventuelle vie ET car il ne faut pas se tromper, la plupart des scientifiques , même à un très haut niveau, n'ont pas la moindre idée que la vie ET est une rélité présente sur Terre depuis l'aube des temps et que des engins ont été récupérés ( la majeure partie par les américains ) et qu'une véritable retro-ingenierie a été déjà été mise en place depuis une cinquantaine d'année.
On ne rentre pas dans la confidence aussi facilement !

ce que vous pouvez voir à la TV, dans les journaux quant aux projets de la NASA, aux differents vols spatiaux, n'est que de la poudre aux yeux quant aux réelles capacités de cette agence spatiale !!... et de ce qui se passe au sein de leurs programmes cloisonnés ...


La retranscription de l'allunissage en 69 n'était bien sûr pas en direct car il fallait expurger de la video tout ce qui aurait pu déclencher une véritable panique .
Les astronautes des différentes missions Apollo ont été bien débriefés à leur retour, l'un d'entre eux a d'ailleurs fini en hôpital psychiatrique et un autre s'est suicidé...
Il y a effectivement une base E-T sur la face cachée de la Lune et ce n'est pas prêt d'être dévoilé au public.
Un mensonge de 35 ans et de plus de 50 ans pour les crashs d'OVNIs va être très dur à rattraper !...

L'activité raisonnable d'une civilisation étrangère est apparue de façon inattendue près de nous. Cependant, nous n'étions pas psychologiquement prêts pour lui.

Est-ce que nous rencontrons encore des publications qui essaient de trouver une réponse à la question suivante par hasard: est-ce que nous Sommes seuls dans l'univers? En même temps, la présence de raisonner des existences a été détectée près de notre maison, sur la Lune. Cependant, cette découverte a été classée immédiatement comme secret, comme c'est si incroyable qu'il peut secouer même les déjà existant principes sociaux, rapports le journal de Russie Vecherny Volgograd.

Voici un extrait du communiqué de presse officiel: “scientifiques de NASA et ingénieurs qui participent à exploration de Mars et la Lune ont rapporté les résultats de leurs découvertes à un briefing au Washington National Presse Club le 21 mars 1996. Il a été annoncé pour la première fois que les structures artificielles et objets ont été découverts sur la Lune.” Les scientifiques ont parlé plutôt prudemment et évasivement de ces objets, avec l'exception d'un OVNI. Ils ont toujours mentionné que les objets artificiels sont possibles, et énoncés l'information était encore sous étude et résultats officiels sera publié plus tard.

Il a bien été mentionné au briefing comme que l'Union Soviétique possédait quelques matières de la photo qui prouve la présence de telle activité sur la Lune. Et, bien qu'il n'ait pas été identifié quel genre d'activité c'était, milliers de photo - et matières vidéo de l'Apollo et la Clémentine espace le poste a montré beaucoup de parties sur la surface lunaire où cette activité et ses traces étaient parfaitement évidentes. Les films vidéo et photos faites par les astronautes Américains pendant le programme Apollo ont été démontrés au briefing. Les gens étaient extrêmement surprises pourquoi les matières n'avaient pas été présentées plus tôt au public. Les spécialistes de NASA ont répondu: “C'était difficile de prévoir la réaction de gens à information que quelques créatures avaient été ou encore sur la Lune. De plus, il y avait d'autres raisons à lui, lequel était au-delà le contrôle de NASA.”

Spécialiste pour les études lunaires Richard Hoagland dit que NASA essaie encore de changer des matières de la photo avant qu'ils soient publiés dans les catalogues du public et les dossiers. Ils font quelque retouche ou les recentrent partiellement en copiant. Quelques investigateurs, Hoagland est parmi eux, suppose qu'une course extraterrestre avait utilisé sur la terre la Lune comme une station terminale pendant leur activité. Ces suggestions sont confirmées par les légendes et mythes de nations différentes de notre planète.

Les ruines de villes lunaires étirent pour beaucoup de kilomètres. Dômes énormes sur les sous-sols massifs, les nombreux tunnels, et autres constructions causent des scientifiques de reconsidérer leurs opinions à propos de la Lune. Comme la Lune a paru et les principes de son tourner encore autour du Monde posent un grand problème pour les scientifiques.

Quelques-uns partiellement détruits des objets sur la surface lunaire ne peuvent pas être placés parmi formations géologiques naturelles, comme elles sont d'organisation complexe et structure géométrique. Pas loin de la place où l'Apollo 15 avait débarqué, une construction entourée par un grand mur dans forme de D a été découverte dans la partie supérieure de Rima Hadley. Comme de maintenant, les objets différents ont été découverts dans 44 régions. La NASA Goddard Espace vol Centre et le Houston l'Institut Planétaire enquête sur les régions. Les excavations mystérieuses dans forme de terrasse de roc ont été découvertes près du cratère Tiho. Les excavations de l'hexahedral concentriques et l'entrée de tunnel sur le côté de la terrasse ne peuvent pas être les résultats de processus géologiques naturels; au lieu, ils ressemblent beaucoup à mines du jet ouvertes. Un dôme transparent élevé au-dessus du bord de cratère a été découvert près du cratère Copernic. Le dôme est exceptionnel, comme c'est des incandescences blanches et bleuit de l'intérieur. Un objet plutôt exceptionnel qui est en effet même exceptionnel pour la Lune a été découvert dans la partie supérieure de la région d'Usine. Un disque d'approximativement 50 mètres dans positions du diamètre sur un sous-sol carré entouré avec les murs. Dans l'image, près du rhombe, nous pouvons voir aussi un noir, embrasure ronde dans la terre qui ressemble à une entrée à un caponier clandestin. Il y a une région rectangulaire entre usine et le cratère Copernic qui est 300 mètres large 400 mètres long.

Apollo 10 astronautes ont pris une photo (AS10-32-4822) d'un objet long d'un mille le Château appelé"," lequel est au plus haut de 14 kilomètres et jets une ombre distincte sur la surface lunaire. L'objet paraît consister en plusieurs unités cylindriques et une grande unité conjonctive. La structure poreuse interne du Château est vue clairement en une des images qui donnent l'impression que quelques parties de l'objet sont transparentes.

Comme il est retourné le briefing où beaucoup de scientifiques de NASA étaient présents, quand Richard Hoagland avait demandé des originaux des images de Château pour la deuxième fois, aucunes images n'ont été trouvées à tout. Ils ont disparu même de la liste d'images faite par l'Apollo 10 équipage. Seulement images intermédiaires de l'objet ont été trouvées dans les archives qui malheureusement ne représentent pas la structure interne de l'objet.

Quand l'Apollo que 12 équipage a débarqué sur la surface lunaire, ils ont vu que l'atterrissage a été observé par un objet à moitié transparent, pyramidal. Il planait juste plusieurs mètres au-dessus de la surface lunaire et a chatoyé avec toutes les couleurs de l'arc-en-ciel contre le ciel noir.

En 1969, quand le film au sujet d'astronautes qui voyagent à la Mer de Tempêtes a été démontré (les astronautes ont vu les objets étranges itérativement, lesquels ont été appelés plus tard “lunettes rayées”), NASA comprenait finalement quelles conséquences le tel genre de contrôle pourrait apporter. Astronaute Mitchell a répondu à la question au sujet de ses sensations après son retour prospère: “Mon cou fait mal encore comme je devais retourner constamment ma tête, parce que nous avons senti nous n'étions pas seuls là. Nous n'avions aucun choix mais prier.” Johnston qui a travaillé au Houston Espace Centre et les photos étudiées et matières de la vidéo ont fait pendant le programme Apollo, a discuté les objets avec Richard Hoagland et a dit que la direction de NASA a été ennuyée terriblement avec le grand nombre d'anormal, le mettre avec douceur, objets sur la Lune. Il a été dit même qu'a piloté des vols à la Lune peut être interdit.

Les investigateurs s'intéressent surtout à structures anciennes qui ressemblent aux villes partiellement détruites. Les photos révèlent une géométrie étonnamment régulière de carré et constructions rectangulaires. Ils ressemblent à nos villes vues de la hauteur de 5-8 kilomètres. Un spécialiste du contrôle de mission a fait des remarques sur les images: “Nos types ont observé des ruines des villes lunaires, pyramides transparentes, dômes, et Dieu sait quoi d'autre, lesquels sont cachés actuellement profondément les coffres-forts de NASA, et s'est senti comme Robinson Crusoe quand il a rencontré soudainement des empreintes de pieds nus sur le sable de l'île désertique par hasard.” Après qu'est-ce que les géologues et scientifiques disent étudier les images de villes lunaires et autres objets anormaux? Ils disent que les tels objets ne peuvent pas être des formations naturelles. “Nous devrions admettre qu'ils sont artificiels, surtout les dômes et pyramides.” L'activité raisonnable d'une civilisation étrangère est apparue de façon inattendue près de nous. Nous n'étions pas psychologiquement prêts pour lui, et quelques gens croient à peine qu'ils sont même maintenant vrais.

13 mars 2005

Les savants jettent un froidEn proposant les

Les savants jettent un froid

En proposant les projets les plus fous pour refroidir la Terre, ils font frémir les climatologues, conscients de la fragilité du globe

Frédéric Lewino LE POINT

Tandis que le gouvernement français en est à installer l'air conditionné dans les maisons de retraite, certains savants en arrivent à vouloir carrément climatiser la Terre. Parce que le protocole de Kyoto sur la réduction des gaz à effet de serre s'enlise, parce que la Chine met les bouchées doubles pour se développer, parce que les Américains refusent de remettre en question leur way of life, parce que la prochaine période glaciaire ne se pointera pas avant cinquante mille ans, ces scientifiques veulent employer les très gros moyens pour refroidir la Terre. Et proposent d'agir directement sur le rayonnement solaire pour le tamiser.


Avant de mourir l'hiver dernier à 95 ans, le physicien américain Edward Teller préconisait d'obscurcir le ciel avec de la poussière d'aluminium et de soufre. Selon ses calculs, 1 million de tonnes ferait chuter l'insolation terrestre de 1 %, contrebalançant ainsi l'effet de serre. Ne croyez pas que cette idée stupéfiante ait jailli d'un cerveau gâteux. Jusqu'à sa mort, Teller était considéré comme l'un des plus brillants savants d'Amérique. Ne fut-il pas le père de la bombe à hydrogène ? C'est lui qui inspira à Stanley Kubrick son « Docteur Folamour ».

Après tout, sa méthode ne fait que copier les grandes explosions volcaniques. En 1991, les cendres du Pinatubo (Philippines), dispersées sur des millions de kilomètres carrés, avaient fait chuter la température terrestre de 0,4 °C pendant quelques semaines. N'ayant pas de volcan à sa disposition, Teller imaginait de faire répandre sa poussière par des avions volant à 13 kilomètres d'altitude et par les canons de la marine américaine ancrée sur l'équateur. Coût : moins de 1 milliard de dollars par an. Mais les biochimistes ont gâché la fête en affirmant que ces particules de soufre et d'aluminium risquaient de gravement perturber la stratosphère.

Qu'à cela ne tienne, le vieil homme avait d'autres tours dans son sac. Avec des collègues, il avait aussi étudié la possibilité d'envoyer sur orbite 50 000 miroirs réfléchissants, ou encore un satellite géant judicieusement placé entre la Terre et le Soleil pour intercepter une fraction du rayonnement solaire. Des scénarios qui peuvent nous paraître dignes de « Star Trek », mais que le gouvernement américain prend très au sérieux et accepte même de financer.

Peindre les nuages en blanc...

Ed Teller n'est pas le seul à faire chauffer son imagination, de nombreux chercheurs traquent la solution miracle. En janvier, ils s'étaient donné rendez-vous à Cambridge pour confronter leurs idées lors d'un symposium organisé par l'université de Cambridge et le Massachusetts Institute of Technology. « Nous avons un besoin urgent d'explorer la faisabilité de nouvelles idées imaginatives pour réduire le réchauffement dans le futur, si nous voulons éviter un changement climatique dangereux », explique le professeur John Shepherd, organisateur du symposium et directeur du centre Tyndall, coordonnant la recherche britannique sur le changement climatique.

A Cambridge, le physicien américain Lowell Wood présenta un projet tout aussi abracadabrant que ceux de son ami Edward Teller. Il proposa d'installer entre la Terre et le Soleil, juste au point de Lagrange, là où les forces gravitationnelles des deux astres s'annulent, un miroir diaphane de 2 000 kilomètres de diamètre. A la vérité, il s'agit d'une idée défendue en 1989 par un collègue de Wood. L'avantage de ce filtre géant va bien au-delà de combattre l'effet de serre. Il pourrait servir de climatiseur terrestre. Wood se voit bien combattre les ères glaciaires et les ères tropicales en modifiant l'inclinaison du filtre géant afin de laisser passer plus ou moins le rayonnement solaire. Mais qui paiera la facture dépassant 100 milliards de dollars ? Sans compter d'éventuels accrocs à la stratosphère : ce dispositif risque d'entraver le passage des rayons UV qui ont la vertu de nettoyer le ciel.

En revanche, John Latham, du Centre national de recherche atmosphérique des Etats-Unis, défend un projet plus... poétique. Il préconise de repeindre en blanc les nuages gris, histoire d'augmenter l'albédo terrestre, c'est-à-dire la réflexion des rayonnements solaires vers l'espace. Pour obtenir ce blanchissement, Latham propose de copier les faiseurs de pluie en pulvérisant des particules dans le nuage pour augmenter d'au moins 10 % le nombre de microgouttelettes. Ce qui aurait pour conséquence d'éclaircir les strato-cumulus par un effet d'optique. Le problème, c'est qu'il faudrait blanchir en permanence des milliers de kilomètres carrés de nuages pour obtenir un refroidissement à l'échelle de la planète. Pour y parvenir, John Latham propose de répartir des centaines de turbines géantes sur tous les océans, capable de pulvériser l'eau de mer salée vers le ciel. Il compte construire son premier prototype dans les deux ans. Avec son procédé, Latham pense garder la Terre au frais même si le taux de gaz carbonique devait encore doubler, quadrupler ou octupler ! Ce qui serait d'ailleurs, précise-t-il, une bonne chose, puisque cela boosterait les plantes agricoles qui se gavent de CO2.

Latham n'est pas le seul à vouloir modifier l'albédo terrestre. D'autres esprits inventifs parlent de jeter à la mer des milliards de balles de golf en polystyrène blanc ou encore, tout bêtement, de repeindre en blanc tous les toits des habitations terrestres.

A vrai dire, ces projets d'ingénierie terrestre font frémir la plupart des climatologues, qui savent combien le climat est une mécanique délicate qu'un grain de sable pourrait rendre folle. Jean Jouzel, directeur de l'institut Pierre-Simon-Laplace des sciences de l'environnement global (CEA, CNRS), ne mâche pas ses mots pour dénoncer ces apprentis sorciers : « Ces projets sont idiots et dangereux. C'est ajouter de nombreux risques à un problème climatique déjà non maîtrisé. » Membre du bureau français du Groupement international d'experts sur le climat, il accuse tout simplement les Américains de soutenir ces projets délirants pour ne pas remettre en question leur mode de vie.

S'il vaut mieux ne pas faire joujou avec le thermostat terrestre, en revanche, certaines grandes manoeuvres sont envisageables, comme la séquestration du gaz carbonique dans les océans ou bien profondément dans les couches géologiques. Mais faut-il encore le récupérer avant qu'il soit émis dans l'atmosphère. A long terme, tous les gros émetteurs de CO2 (centrales thermiques, cimenteries, aciéries...), responsable de 30 % des émissions mondiales, seront tenus de les réduire, puis de les supprimer. Techniquement, c'est un jeu d'enfant, mais cela revient encore trop cher : entre 30 et 60 euros la tonne de CO2 pour une centrale thermique de 500 mégawatts. A travers le monde, de nombreux laboratoires recherchent des procédés plus économiques. En février 2003, le président Bush lançait pour 1 milliard de dollars le projet FutureGen d'une centrale électrique au charbon, zéro émission.

Eponger le gaz carbonique...

Il restera le problème des émissions des voitures et du chauffage. Impossible de coiffer chaque tuyau d'échappement d'un filtre à CO2. Aussi, depuis dix ans, Klaus Lackner, professeur de géophysique à l'université Columbia, peaufine un procédé censé éponger le gaz carbonique de l'atmosphère au moyen de collecteurs brassant l'air au-dessus d'un réservoir de chaux. « Le volume d'air devant subir ce traitement est incroyablement faible comparé aux volumes nécessaires pour faire tourner des éoliennes », prétend-il. Le coût de son procédé d'extraction est encore bien trop cher, environ 100 dollars la tonne, mais il affirme pouvoir le réduire d'un facteur vingt dans les années futures.

Piéger le gaz carbonique, c'est une chose, mais encore faudra-t-il le stocker quelque part. Les compagnies gazières et pétrolières ont ouvert la voie. Depuis 1996, la compagnie pétrolière norvégienne Norsk Hydro réinjecte dans une nappe aquifère 1 million de tonnes de CO2 émis annuellement par sa plate-forme gazière de Spleiner, en mer du Nord. Gaz de France s'y est mis à son tour dans la même zone. Quant aux pétroliers, la réinjection du CO2 permet de redonner du tonus à des puits en fin d'exploitation. Mais il y a encore de nombreuses autres formations géologiques susceptibles d'accueillir le gaz carbonique : mines de charbon, toutes les roches poreuses et perméables... Au total, il y a aurait place pour stocker 12 000 milliards de tonnes de CO2.

Jeter du fer à la mer...

L'océan constitue une deuxième possibilité de stockage. Déjà, il éponge naturellement 18 milliards de tonnes de CO2 atmosphérique chaque année, mais certains chercheurs pensent possible de charger davantage la barque. Pour cela, ils envisagent plusieurs procédés. Depuis 1999, l'université de Berkeley et le Lawrence Livermore National Lab étudient l'immersion de CO2 préalablement liquéfié par 3 000 mètres de fond où il serait piégé par la pression élevée. D'autres équipes imaginent de balancer des pains de glace carbonique en pleine mer. Mais des abîmes océaniques parsemés de lacs de CO2 effraient les biologistes. Dans l'ouvrage qu'il vient de publier (« Le climat : jeu dangereux »), Jean Jouzel condamne cette méthode dont l'impact environnemental s'avère risqué, car le stockage n'est pas stable à long terme.

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